De céleste visée.

Je comprends cette “élévation” quasi religieuse, cette aspiration qui se termine par une étreinte.

Toutefois, je crois que pour complètement apprécier ce poème, il me faut ignorer l’image : il me semble comprendre l’intention de montrer ces branches s’élevant elles aussi vers le ciel, mais pour moi l’image est trop massive et je reste prisonnier sous ces voûtes où la clarté entre par un vitrail. Et pourtant, les cathédrales n’aspirent-t-elles pas, dans un désir d’absolu, à nous faire toucher le ciel… ?