Obscurité au sang mêlé
Un tourbillon
De chair, de soie
Caresse sylphe
Juste ébauchée
Du bout des doigts
Baiser pulsé
Aux seins
Veinés
Aux corps arqués
La mélopée
D’ un chant de joie
Brasier bouté
En doux émoi
D’ un peu de soi
Obscurité au sang mêlé
Un tourbillon
De chair, de soie
Caresse sylphe
Juste ébauchée
Du bout des doigts
Baiser pulsé
Aux seins
Veinés
Aux corps arqués
La mélopée
D’ un chant de joie
Brasier bouté
En doux émoi
D’ un peu de soi
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Ce poème retentit en moi comme un beau chant d’amour.
Très sensuel, il s’accorde magnifiquement avec la sculpture.
Merci, Tanagra.
Où je découvre avec surprise et délices que le “brasier” est presque un anagramme du “baiser”, tous deux parfaitement conjugués dans ce poème qui exalte la légèreté du bronze. Qui l’eut cru !?
Merci Nima, merci Hermano, je ne pensais pas que ce fût aussi torride.