Un mur blanc à mes yeux aveugles
Le temps étiré au sablier immobile
La note suspendue, ad libitum
L’absence de cris
Un rire enfoui aux tréfonds de la gorge
Le murmure des caresses tissées de serein
D’avens averses…
Un mur blanc à mes yeux aveugles
Le temps étiré au sablier immobile
La note suspendue, ad libitum
L’absence de cris
Un rire enfoui aux tréfonds de la gorge
Le murmure des caresses tissées de serein
D’avens averses…
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Merci pour ce silence parfait dans lequel tout est dit en quelques mots.
Bienvenue parmi nous, Tanagra !
Bonjour Tanagra, bienvenue, et aussi un joyeux Noël !
Merci pour cet inventaire personnel de tes silences.
Un univers où les “avens averses” me laissent encore plein d’hypothèses, même après plusieurs lectures… mais c’est cela qui est bien dans la poésie. Non ?
Pas un abîme de perplexité, tout de même ! J’imagine… j’imagine…
il y a des textes qui sont lent mais qui sont court et il y a des textes qui sont court mais qui sont lent .