J’aime ce haïku triste qui me donne à songer, à m’évader, à imaginer, et qui se termine par cet oxymore qui me laisse flotter encore davantage entre joie et regrets…
Mais c’est peut-être cela, après tout, la nostalgie : à la fois une joie et un regret.
Merci Purana.
Mais pourquoi ai-je lu “Deux arômes de jadis” ?
chargement…
Avec peu de mots, ce poème est pour moi un tableau délicat et très suggestif
d’une nostalgie, en accord avec l’image au dessus.
Il me parle.
Merci Purana.
Nima-26-07-20
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Merci à vous deux pour vos compliments sur mon petit poème.
Ci-dessous, un petit éclaircissement pour ceux qui s’intéressent à la forme des haïkus.
Certaines règles sont appliquées dans ce petit texte :
– L’inspiration (la mer) comme point de départ.
– Les deux premiers vers sont mises en opposition par le dernier.
– Les deux premiers vers ne sont pas liés que par le troisième.
– L’écho philosophique en arrière-plan : la relativité de la perception.
– L’épiphanie, un aha moment : le troisième vers.
– Le paradoxe (ou l’oxymore ??) : chagrin enjoué.
En fait, l’opposition entre les deux premiers vers, c’est-à-dire le chagrin (maintenant -> vent salé) par rapport à la joie (jadis -> doux arômes), est mise en évidence dans le troisième vers (chagrin enjoué).
Mais quelle est la différence entre le paradoxe et l’oxymore ?
Dans un oxymore, on se trouve face à une contradiction réelle.
Dans un paradoxe il s’agit d’une contradiction apparente qui, après l’analyse, elle ne l’est pas.
La distinction entre les deux est plutôt vague et les sources sont divergentes.
On pourrait donc se demander quand quelque chose est une véritable contradiction !
@ Hermano
J’espère que maintenant tu ne trouves pas nécessaire de remplacer “doux” par “deux”.
@ Nima
Je te remercie de m’avoir choisi d’être la première personne à recevoir un commentaire de ta part.
Tes paroles me réchauffent le cœur.
Je te souhaite la bienvenue parmi nous.
Belle nuit
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Merci Purana pour cette petite leçon de subtilité toute japonaise. Très intéressant !
Je vais me recopier cela quelque part et tâcher d’en tenir compte.
J’aime ce haïku triste qui me donne à songer, à m’évader, à imaginer, et qui se termine par cet oxymore qui me laisse flotter encore davantage entre joie et regrets…
Mais c’est peut-être cela, après tout, la nostalgie : à la fois une joie et un regret.
Merci Purana.
Mais pourquoi ai-je lu “Deux arômes de jadis” ?
Avec peu de mots, ce poème est pour moi un tableau délicat et très suggestif
d’une nostalgie, en accord avec l’image au dessus.
Il me parle.
Merci Purana.
Nima-26-07-20
Merci à vous deux pour vos compliments sur mon petit poème.
Ci-dessous, un petit éclaircissement pour ceux qui s’intéressent à la forme des haïkus.
Certaines règles sont appliquées dans ce petit texte :
– L’inspiration (la mer) comme point de départ.
– Les deux premiers vers sont mises en opposition par le dernier.
– Les deux premiers vers ne sont pas liés que par le troisième.
– L’écho philosophique en arrière-plan : la relativité de la perception.
– L’épiphanie, un aha moment : le troisième vers.
– Le paradoxe (ou l’oxymore ??) : chagrin enjoué.
En fait, l’opposition entre les deux premiers vers, c’est-à-dire le chagrin (maintenant -> vent salé) par rapport à la joie (jadis -> doux arômes), est mise en évidence dans le troisième vers (chagrin enjoué).
Mais quelle est la différence entre le paradoxe et l’oxymore ?
Dans un oxymore, on se trouve face à une contradiction réelle.
Dans un paradoxe il s’agit d’une contradiction apparente qui, après l’analyse, elle ne l’est pas.
La distinction entre les deux est plutôt vague et les sources sont divergentes.
On pourrait donc se demander quand quelque chose est une véritable contradiction !
@ Hermano
J’espère que maintenant tu ne trouves pas nécessaire de remplacer “doux” par “deux”.
@ Nima
Je te remercie de m’avoir choisi d’être la première personne à recevoir un commentaire de ta part.
Tes paroles me réchauffent le cœur.
Je te souhaite la bienvenue parmi nous.
Belle nuit
Merci Purana pour cette petite leçon de subtilité toute japonaise. Très intéressant !
Je vais me recopier cela quelque part et tâcher d’en tenir compte.