Je ne volerai pas ton âme, je veux seulement la flaque, la flaque de lumière, juste une copie, un duplicata, cette flaque de lumière, et toi tu ne veux pas, c’est mon rocher de Sisyphe, et la flaque se mêle à la boue, la lumière dans la boue, la boue, la boue… intimité refusée, photo de toi celée, la photo d’une enfant, c’est non, pourquoi, pourquoi non, pourquoi cacher la lumière, pourquoi la boue dans la lumière, ta photo, ta photo de l’innocence, conservée, cadenassée, pas pour moi, pourtant je la veux tellement, mais c’est non, alors où es-tu, qui es-tu, lumière d’enfant trop précieuse pour moi, peur que je souille de boue le souvenir, la candeur, que la source soit bue, tarie à jamais, que le retour à la genèse, à la virginité, ne soit plus possible, volonté de conserver intact le nid du phénix, alors c’est non, toujours non, et je continue, habité par ce vide, je la veux douloureusement, la nuit, la photo avant que tout commence avant que les flaques t’éblouissent ou t’enlaidissent, avant que tu saches tout de pure science, l’image une, seule, pure, ton regard du fond de l’histoire, ton regard d’avant toutes les histoires et d’avant la lumière et d’avant la boue, la boue, d’avant la lumière dans la boue et d’avant la boue dans la lumière. Juste un double de ton âme d’enfant, pour moi, pour la cicatrice.
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Tu sais Hermano comme d’habitude j’apprécie tes textes, mais cette fois-ci tu m’as largué ! J’ai eu beau relire plusieurs fois ta “Route barrée”, je n’ai rien compris. Je dois m’y résoudre : j’ai atteint mon niveau d’incompétence… Je ne doute pas que d’autres esprits plus acérés que le mien pénètreront dans les arcanes complexes de cet essai. Je constate aujourd’hui que mon modeste cerveau bute sur un nouvel obstacle qui s’ajoute au principe d’indétermination de Heisenberg, au théorème de Lobatovski, au phénomène d’intrication…
Encore pardon !
Merci, cher Loki, pour ton passage et pour ce commentaire.
Peut-être en avais-je assez de trop de limpidité et de respect des convenances poétiques, ou peut-être aussi ai-je été nuitamment visité par Khalid… !?
Je reste assez stupéfait (moi aussi !) du choix des “articles similaires” proposés par WordPress qui, semble-t-il, a bien retrouvé la “patte” ou la “pâte” de l’auteur ! Incroyable ! (et aussi par la perplexité exprimée par le dessin associé à “Parallèles non convergents”). Est-ce cela qu’on appelle l’intelligence artificielle !?
Bon, la prochaine fois que j’aurai une pulsion d’écriture automatique, je te préviendrai d’abord pour t’éviter la syncope, et surtout… ne t’excuse pas !
Il faut les yeux qui parlent, les lèvres qui lisent et un cœur qui entend pour apprécier ce poème fou (à la Khalid).
Ce n’est pas un secret, j’ai toujours été fan de poèmes étranges, écrits à l’envers, se frayant un chemin à travers les sens primaires sans respecter les convenances.
Voilà donc pourquoi j’ai vraiment beaucoup aimé lire ce texte au rythme magnifique et aux métaphores merveilleuses ; un texte qui mérite d’être classé comme prose poétique.
Et oui, moi aussi, je suis étonnée de retrouver l’un de mes textes dans la liste des “articles similaires” et aussi de la perplexité exprimée par le dessin associé à mon humble “Parallèles non convergents”.
C’est un texte inspirant d’un goût aigre-doux-amer que je trouve très beau.
Je t’en remercie.
Long lamento, lente mélopée, mais non, le rythme est incantatoire, happés que nous sommes en apnée au long-cours de cette phrase sinueuse, serpentine, nécessaire ; envoutés, embarqués par ce flot impétueux, ce torrent poétique.
Une prière, oui…
Psaume à la beauté de l’enfance volée, envolée, “candeur d’avant” ce seuil souillé de boue.
Je salue le choix des photos, la photo de cette enfant voilée est sublime.
La lumière magnifiée en leitmotiv.
Et cette chute magnifique égratigne l’éther, toute de retenue et de délicatesse :
“Juste un double de ton âme d’enfant, pour moi, pour la cicatrice.”
Du grand Hermano, chapeau l’artiste.
« Il faut les yeux qui parlent, les lèvres qui lisent et un cœur qui entend pour apprécier ce poème fou (à la Khalid). »
Merci, Purana, de mettre des mots sur mes maux ! Je comprends enfin pourquoi lecture et relectures de cet essai ne déclenchent rien chez moi. Je suis un homme effroyablement banal : mes yeux regardent, mes lèvres parlent et mes oreilles écoutent. Mon cœur se contente de brasser depuis bien longtemps le sang nécessaire à ma vie (qu’il en soit remercié…) (rire).
Je comprends enfin que je suis comme un aveugle essayant de voir la beauté des peintures de Léonard de Vinci ou comme le sourd essayant d’apprécier du Bach. Hélas ! La médecine ne peut rien pour moi…(rire)
« Ce n’est pas un secret, j’ai toujours été fan de poèmes étranges, écrits à l’envers, se frayant un chemin à travers les sens primaires sans respecter les convenances. »
D’accord avec toi le mot « étrange » est bien choisi, quand aux convenances ce n’est pas ce qui me gêne, mais plutôt le caractère hermétique* de l’essai.
« Voilà donc pourquoi j’ai vraiment beaucoup aimé lire ce texte au rythme magnifique et aux métaphores merveilleuses ; un texte qui mérite d’être classé comme prose poétique. »
Pour ma part en tant que lecteur « banal » je me contenterai de la poésie qui se dégage d’une feuille d’automne qui voltige, du soleil qui s’enfonce dans mer, à son coucher, de quelques vers de Victor Hugo.
En conclusion il faut de tout pour faire un monde et « les vaches seront bien gardées »
*Hermétique : difficile à comprendre, obscur.
Voilà un texte qui ne laisse pas indifférent !
Malheureusement face à ce poème, la vitre est trop opaque pour moi. Cependant je suis très intriguée par le rythme. Hermano mentionne l’écriture automatique, peut-on en savoir plus ?
Je pense aussi que ce texte se prêterait assez bien à une musique haletante type “la petite fille en pleurs” de Claude Nougaro. Qu’en dites-vous ?
https://www.youtube.com/watch?v=Ru1pwbHaVz0&list=RDRu1pwbHaVz0&start_radio=1&t=0
Et … mon cher ami, Loki, il faut du courage pour dire “je n’y comprends rien”, “c’est obscur”, etc.
Il faut de la confiance en soi pour commenter les textes de notre Hermano.
Bravo à toi pour ton courage ; bravo à Hermano pour son attitude tolérante dans sa réponse à ton commentaire ci-dessus. Sourire.
Quant à moi, j’aime les textes que je perçois comme beaux.
Mais qu’est-ce que la beauté ?
Je dois avouer que pour moi, en premier lieu, c’est l’obéissance aux règles du jeu ainsi que la compréhensibilité du texte qui déterminent l’inclinaison du curseur vers la beauté ou vers la laideur. Dans ce cas, je suis les jugements de “mes yeux qui regardent, de mes lèvres qui parlent et de mes oreilles qui écoutent“.
Cependant, face à certaines œuvres, notamment certaines musiques / danses / peintures / écritures, il m’arrive d’apercevoir une création comme belle bien qu’elles soient incompréhensibles. Exemple : les peintures de Jérôme Bosch, certains poèmes de quelques poètes persans modernes, Vísur Vatnsenda Rósu (Hector Zazou&Björk), … …
Voici la notion de beauté indépendante de la compréhension.
Ce ne sont pas les parties individuelles d’une “chose”, mais l’harmonie au sein de l’assemblage qui rend une “chose” belle.
Comme l’écrit Line voilà un texte qui ne laisse pas indifférent. C’est l’une de ses premières qualités. J’ai écrit sincèrement ce que j’en pensais. Il s’est instauré un débat et je me réjouis qu’il se fasse dans une parfaite courtoisie. Cela nous change de ceux, actuels, où la mauvaise foi et malheureusement la haine sont les seules couleurs. Autour de “Route barrée” chacun développe ses arguments, en les étayant, avec parfois une note d’humour de bon aloi.
Je ne veux pas continuer d’argumenter, je pense avoir tout écrit.
Est-ce encore de l’humour ? J’ai repris le texte d’Hermano en remplaçant de nombreux mots par leurs synonymes.
Je vous laisse le soin de me dire si vous y retrouvez le goût aigre-doux-amer et la prose poétique initiale…
Cette gymnastique sur les mots ne serait-elle pas une future idée pour un concours entre nos adhérents ?
Je ne barboterai pas ton psyché, je veux seulement la nitescence, la gouille de nitescence, juste une copie, un duplicata, cette gouille de nitescence, et toi tu ne veux pas, c’est mon rocher de Sisyphe, et la gouille se mêle à la gadoue, la nitescence dans la gadoue, la gadoue, la gadoue… intimité refusée, daguerréotype de toi celée, le daguerréotype d’une enfant, c’est non, pourquoi, pourquoi non, pourquoi cacher la nitescence, pourquoi la gadoue dans la nitescence, ton daguerréotype, ton daguerréotype de l’innocence, conservée, cadenassée, pas pour moi, pourtant je la veux tellement, mais c’est non, alors où es-tu, qui es-tu, nitescence d’enfant trop précieuse pour moi, peur que je souille de gadoue le souvenir, la candeur, que la source soit bue, tarie à jamais, que le retour à la genèse, à la virginité, ne soit plus possible, volonté de conserver intact le nid du phénix, alors c’est non, toujours non, et je continue, habité par ce vide, je la veux douloureusement, la nuit, le daguerréotype avant que tout commence avant que les gouilles t’éblouissent ou t’enlaidissent, avant que tu saches tout de pure science, l’image une, seule, pure, ton regard du fond de l’histoire, ton regard d’avant toutes les histoires et d’avant la nitescence et d’avant la gadoue, la gadoue, d’avant la nitescence dans la gadoue et d’avant la gadoue dans la nitescence. Juste un double de ton psyché d’enfant, pour moi, pour la cicatrice.
L’exercice de Loki montre combien le choix des mots contribue – ou non – à la musicalité d’un texte. Ces commentaires m’ont fait toucher du doigt que sans comprendre le fond du poème, j’appréciais sa musique, grâce à son rythme et ses sonorités. L’exercice du commentaire et l’échange sont riches : Merci à vous tous !
Je vois que vous êtes vraiment très nombreux à vous être engagés sur cette “route barrée”, mais qui n’est nullement une voie sans issue, et je vous remercie de tous ces commentaires auxquels je ne m’attendais vraiment pas.
Je dois dire qu’il s’agit en effet d’un sujet brûlant ! Qu’est-ce que la poésie ? Qu’est-ce qui est poétique et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Un sujet toujours renouvelé et où – manifestement – les opinions diffèrent beaucoup.
C’est pourquoi j’ai pensé qu’on pourrait ouvrir sur le site une discussion plus large à ce sujet. Je suppose que cela pourrait intéresser les visiteurs, autant que le texte de Purana sur “La répétition dans les textes littéraires” qui apparaît toujours en tête des articles les plus lus bien que publié depuis deux ans ! Qu’en pensez-vous ?
Encore mes remerciements à Purana qui sait si bien exprimer et expliquer l’inexprimable. Oui, je partage tout à fait ton approche même si, bien sûr, nous ne sommes pas toujours sensibles aux mêmes écrits…
Merci aussi à Tanagra pour ce commentaire qui me fait rougir, surtout de plaisir, il faut bien le dire ! Heureux que tu aies apprécié mon petit montage photo… je dois avouer que cela m’a pris au moins autant de temps que d’écrire ce texte, une écriture pulsionnelle, sans trop réfléchir et avec à peine quelques retouches cosmétiques. Vraiment surpris mais heureux qu’avec Purana, vous ayez trouvé cela très poétique.
Loki, ce n’est manifestement pas ton avis, que je peux comprendre et que surtout je respecte entièrement. Mais ce que je me dis tout de même, c’est qu’il faut lâcher prise avec ce probable formatage que nous avons subi dès l’enfance, où on nous a inculqué qu’un poème était toujours un doux balancement harmonieux de mots choisis et précieux, de même qu’il a fallu quelques décennies avant que le grand public apprécie et admette que la peinture pouvait avoir du sens en dehors d’un classicisme de bon ton.
“Laissons donc venir nos émotions et reconnaissons-les !” et merci Line d’avoir tenté de le faire même si je comprends que ce type de texte ne sera jamais ta tasse de thé préférée !
Alors, ce que je me dis finalement, c’est que je continuerai à prêcher pour la diversité mais aussi, comme disait Voltaire paraît-il, pour que chacun puisse dire “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me …“. Je vous laisse vous précipiter sur Google si vous ne connaissez pas la fin de la phrase !
En fait, on me dit que ce que Voltaire a vraiment écrit est ceci : Voltaire se serait adressé à l’abbé Le Riche en ces termes : « Monsieur l’abbé, je déteste ce que vous écrivez, mais je donnerai ma vie pour que vous puissiez continuer à écrire. » Ce qui convient encore mieux à nos activités sur ce site ! Non ?
Merci de répondre à ma question sur une éventuelle discussion sur ces sujets.
Avec un bus de retard !
Merci Loki de t’être livré avec une aussi grande sincérité et merci également pour ce petit jeu si instructif. Je suis comme toi, je n’aime pas ne pas comprendre, c’est sans doute pour cela que je suis encore rétif à certaines formes de poésie ou de théâtre. Pourtant je sens de plus en plus ma perméabilité aux textes poétiques auxquels, d’emblée, je ne trouve pas un sens. Les mots cachent une forte charge bien au delà de leur habituelle signification, si l’on sait les agencer avec cet art miraculeux de jeter des ponts d’émotion qui enjambent l’intelligence.
Mais je reviens à « Route barrée » avec le risque de me casser la gueule, comme un gosse sur son vélo que son père vient de lâcher pour la première fois et dont la trajectoire est incertaine. La poésie, quelle qu’en soit la forme, sait exprimer la quête de l’absolu, inaccessible dans notre pauvre condition et dont le manque nous pousse à la créativité. Et ici, me semble-t-il, l’absolu est placé dans l’image idéalisée de la candeur de l’enfance, celle de l’être aimé, avec l’illusion douloureuse que s’il possédait cette image l’auteur accèderait enfin à la pureté dont il rêve pour son amour, et alors se comblerait le vide consubstantiel à tout amour, la cicatrice jamais fermée. Mais cela n’est pas sans risque : « Je ne volerai pas ton âme » … Cette image immaculée d’avant la boue, qui manque tant et nous est refusée. Ah ! si l’on pouvait revenir à avant l’enlaidissement, les faux éclairages et le savoir de pure science quand il se croit suffisant, vision réduite (réductrice ?) qui cristallise l’incomplétude de notre appréhension du monde. Invoquons l’indispensable concours du poète car nous souffrons tous de l’imperfection de l’amour.
Prose poétique, oui, et de la très belle !
Et là je suis pris au piège car je vois bien qu’une fois de plus je cherche à expliquer ce qu’il n’est nullement nécessaire d’expliquer, je patauge encore dans la gadoue, l’impure science. Ce commentaire ne me satisfait pas, vous comprenez sans doute mieux aujourd’hui pourquoi habituellement je m’abstiens, mais je vous l’envoie quand même puisque l’ami Hermano nous invite aujourd’hui à nous exprimer sur la poésie.
Oui c’est une excellente idée d’engager une discussion sur “Qu’est-ce que la poésie ?” car elle intéressera les adeptes et les béotiens comme moi qui aimeraient tout de même en savoir un peu plus.
Et tant que nous sommes “chauds” ne faudrait-il pas ouvrir cette discussion maintenant avant qu’elle ne soit diluée dans le commentaire sur “Frustration végétale” ?
Je pense qu’en premier commentaire, on peut amorcer en reprenant des passages sur ce thème, par exemple dans le dernier commentaire de Chamans, ou dans plusieurs commentaires de Purana ou Hermano.
J’adhère à cette excellente idée d’engager une discussion sur “Qu’est-ce que la poésie ?” car elle intéressera les adeptes et les béotiens comme moi aussi qui aimeraient tout de même en savoir un peu plus. En supposant que dans ce domaine on puisse parler de « savoir », mais plutôt à mon avis de « foi ». J’arrête, car j’anticipe sur une discussion ultérieure…
On pourrait adjoindre à cette discussion la question que pose Purana dans son commentaire : « Mais qu’est-ce que la beauté ? » et les affirmations :
« Ce ne sont pas les parties individuelles d’une “chose”, mais l’harmonie au sein de l’assemblage qui rend une “chose” belle. »
« Cependant, face à certaines œuvres, notamment certaines musiques / danses / peintures / écritures, il m’arrive d’apercevoir une création comme belle bien qu’elles soient incompréhensibles. Exemple : les peintures de Jérôme Bosch, certains poèmes de quelques poètes persans modernes, Vísur Vatnsenda Rósu (Hector Zazou&Björk), … …
Voici la notion de beauté indépendante de la compréhension. »
Vaste programme, car beaucoup l’ont déjà abordé !
Hermano l’a déjà perçu quand il écrit : « Je dois dire qu’il s’agit en effet d’un sujet brûlant ! Qu’est-ce que la poésie ? Qu’est-ce qui est poétique et qu’est-ce qui ne l’est pas ? Un sujet toujours renouvelé et où – manifestement – les opinions diffèrent beaucoup. »
Mais la vie est un éternel recommencement…
Pour en revenir à la beauté je pense que vous avez tous en tête « Art », une pièce de théâtre de Yasmina Reza, créée en 1994, où il question du Carré blanc sur fond blanc une huile sur toile, peinte par Kasimir Malevitch en 1918.
Il m’est arrivé la même chose en visitant le musée d’art contemporain de Grenoble et m’arrêtant devant une toile blanche comportant un unique point et me penchant sur l’étiquette pour comprendre l’explication de l’œuvre par un critique d’art dont j’ai vite oublié le nom. Ce jour-là j’ai eu la sensation, excusez-moi, de la brutalité de mes termes « d’un foutage de gueule » …
Mais j’arrête là ma logorrhée et j’ai hâte de lire vos arguments.
Line a dit :
Et tant que nous sommes “chauds” ne faudrait-il pas ouvrir cette discussion maintenant avant qu’elle ne soit diluée dans le commentaire sur “Frustration végétale” ?
Oui ! Je suis tout à fait d’accord avec Line !
Il nous faut débuter cette discussion sous la rubrique “Discussions”.
Merci de ne plus continuer l’argumentation sur la page actuelle.
Je ne voudrais pas conclure ce commentaire sans remercier Chamans pour sa visite, ses ressentis, et pour sa particulière pertinence à déchiffrer mon texte que je n’avais pas qualifié de poème mais d'”Autre texte”.
J’ai aussi oublié de remercier Line pour la chanson “La petite fille en pleurs” de Nougaro (un vrai poète pour moi !) dont le rythme syncopé pourrait en effet convenir assez bien à la mise en musique de ce texte.
Et comme tout cela a suscité moultes expressions personnelles à propos de la poésie, je vous invite à nous suivre dans la discussion que nous ouvrons ici sur ce sujet éminemment polémique et passionnant :
https://www.oasisdepoesie.org/discussions/hermano/poetique-ou-pas-poetique/
Encore merci à vous toutes et à vous tous !
Hermano