Nous vous proposons ci-dessous 2 décors différents.

Vous allez inventer une histoire en l’insérant dans un de ces décors.

 

Remplissez chaque trou  … … …  du décor avec « quelque chose » :
des personnages qu’on verra vivre et se comporter, des évènements qui se produiront, bref une histoire qui se déroulera dans ce décor. Vous pouvez aussi enrichir le décor à votre guise.

 

Et, bien sûr, vous terminerez votre histoire en complétant le dernier « trou … … …« .

 

Pour cela :

  1. choisissez d’abord un des 2 décors ci-dessous et copiez en le texte
  2. remplissez les trous avec votre histoire (autant de lignes que vous voulez)
  3. collez ensuite l’ensemble dans la boîte de commentaires ci-dessous et envoyez

 

Vous pouvez évidemment écrire une histoire pour chaque décor, et même plusieurs !

Ne retenez pas vos plumes !

à vous lire bientôt !

 

 

Décor n° 1

La Seine coule sous la passerelle des Arts, entre le Louvre et l’Institut de France. Dans les eaux calmes du petit matin se reflètent les arbres florissants de ce matin de juin et la coupole dorée de l’Académie Française. De part et d’autre des berges, des siècles d’histoire et de culture nous contemplent.

… … …

 

En ce jour encore jeune, la ville ne bruisse pas encore de l’agitation vibrionnante de l’heure de pointe. La circulation est fluide, peu de péniches viennent troubler la surface du fleuve et comme dit la chanson, les balayeurs sont plein de balais, les cafés nettoient leurs glaces et les amoureux sont fatigués.

… … …

 

Ah, les amoureux, ils sont passés nombreux sur cette passerelle. Les rambardes sont si chargées de cadenas d’amour qu’elles ressemblent à ces maharadjahs aux lourds colliers.

… … …

 

Sous cette passerelle chargée d’Histoire et d’histoires, coule la Seine, et nos amours, faut-il qu’il m’en souvienne, la joie venait toujours après la peine.

… … …

 

 

 

Décor N°2 :

La mousse tapissait les rochers qui masquaient l’entrée de la grotte, une mousse bien dense et bien verte, égayée de petites fleurs blanches.

… … …

 

Un long boyau aux parois humides, où il fallait cheminer courbé pendant quelques minutes, était éclairé par des torches installées tous les dix mètres. Au loin, on entendait un souffle inquiétant.

… … …

 

Ce couloir improbable débouchait sur une large salle arrondie au plafond d’une argile ocre, très lisse, qui pouvait accueillir au moins trente personnes. Au centre, une table de marbre gris, carrée, sur laquelle se dressait un gros cierge trapu.

… … …

 

Tout autour de cette salle voutée des alvéoles creusées dans la roche, à espace régulier, permettaient de s’asseoir. Au-dessus de chacune d’elles, un petit portrait de la taille d’une grosse médaille. Entre elles, un cierge allumé, plus petit et plus fin que le cierge central, et à la cire de couleur rouge.

Cet éclairage si particulier ajoutait à l’aspect étrange du lieu en projetant des ombres qui s’animaient même lorsqu’on restait immobile.

… … …

 

Et toujours ce souffle… et maintenant, cette odeur.

… … …