Si la passion te fait rugir

quand l’hirondelle du palace hôtel

sème des orchidées sous tes pieds

suppose que la fanfare du père Mouftar

t’évoque la cafetière de ta grand-mère

qui sifflait comme un lance flammes

quand le cri de Munch te rendait sourd

Un jour le soudeur à l’arc a lancé sa flèche en plein soleil

L’apocalypse est now et for ever

Dans les tranchées le fracas des tambours.

Bernard

 

 

Si ce foutu ciel caractériel

percevait un écho fusionnel

tes quarante années rugissantes imposeraient leur exubérance.

Suppose que ta force vivante en colère déferle,

les froids hivernaux des fées se glaceraient d’effroi.

Reste à appeler les feux de Dieu, à danser autour d’eux

et réunir les gênes électriques et ceux d’humeur statique.

Un jour Vulcain reconnaitra ses flammes et ses femmes.

Dans sa forge, chut !! plus un cil, plus un pli, seul subsiste

le cri du pissenlit à l’agonie.

Ophenix 

 

 

Textes mêlés

Si la passion te fait rugir

Si ce foutu ciel caractériel

perçoit un écho fusionnel

quand l’hirondelle du palace hôtel

sème des orchidées sous tes pieds

tes quarante années rugissantes imposent leur exubérance.

Suppose que la fanfare du père Mouftar

t’évoque la cafetière de ta grand-mère

qui siffle comme un lance flammes

quand le cri de Munch te rend sourd,

Suppose que ta force vivante en colère déferle,

les froids hivernaux des fées se glaceraient d’effroi.

Reste à appeler les feux de Dieu, à danser autour d’eux

et réunir les gênes électriques et ceux d’humeur statique.

Un jour le soudeur à l’arc lance sa flèche en plein soleil

Un jour Vulcain reconnaît ses flammes et ses femmes.

Dans sa forge, chut !! plus un cil, plus un pli, seul subsiste

le cri du pissenlit à l’agonie.

L’apocalypse est now et for ever.

Dans les tranchées, le fracas des tambours.

 

Bernard et Ophénix

 

Textes écrits en atelier d’écriture le 26 mars à Villenave d’Ornon