Voici une poésie sans prétention, de celles qui pourraient figurer sur un cahier d’école primaire, une petite fantaisie issue d’un atelier d’écriture où il fallait insérer des paroles de chansons d’automne (en italique dans le texte). C’est la rentrée des classes, J’touche du bois, j’croise les doigts Pour pas avoir Madame LEGROS. Pomme de […]
Je me suis toujours senti vieil homme * Et si je m’acceptais pour une fois ? * Pourquoi s’écharner à faire trace ? * Mélancolie, définition : Poupée maudite qui joue dans le tram * Lac où cette folle passion filtrée par les mots Devance son ombre […]
Voilà le monde Capsule maintenue dans l’astéroïde de glace L’Espace profond qui serre la vie contre sa poitrine Résurgence d’un mot Cramponné à l’âme vagabonde Trajet d’un flambeau en bordure de l’eau Autrefois Il y avait déjà la noirceur.
Sur mon île natale, où l’horizon s’étire,Les souvenirs s’entremêlent dans le murmure du zéphyr.Entre les palmiers altiers et le sable doré,Règne une mélancolie qui jamais ne s’estompait. Les vagues caressent la côte avec douceur,Chantant une ballade empreinte de splendeur.Mais dans leur chant, réside une tristesse cachée,Témoins silencieux des histoires oubliées. Les rues étroites du village […]
Dans le vent brûlant d’une nuit sombre,S’éveille le colosse de roche et d’ombre.Sous le ciel étoilé, la terre gronde,L’éruption éclate, fureur profonde. Les flammes dansent, déchirant le ciel,Échos d’un passé, d’un feu immortel.Le volcan rugit, déverse sa colère,Cascade de feu, étreinte éphémère. La lave ardente, flot rougeoyant,S’épanche, conquérant tout sur son chemin.Villages, forêts, en un […]
Sur la plage où le sable s’étend à l’infini,Le vent chuchote à l’oreille des vagues, complices unis.Ensemble, ils dansent dans un ballet sans fin,Harmonie éternelle, où l’horizon se dessine. Les vagues s’élèvent, écumantes et libres,Leurs éclats argentés comme des perles vives.Elles caressent la plage de leur élan puissant,Emportant avec elles le temps, chaque instant. Le […]
Le vent du désert souffle sur les cendres Les gardiens de la Porte s’en vont La Forteresse est oubliée Les barbelés à l’abandon seront poussière Avant d’écorcher quiconque Est-ce toi, ô néant qui a permis au monde et au vent de tourner la page ?
En te rencontrant Le sable était chant de lune Et la nuit Cœur à pleine chamade Et fièvre de la découverte .
AUBE Fugitive espérance Au déclin de la nuit L’aube glisse à mesure D’un rêve évanoui Sa blonde chevelure Enrubannée d’étoiles Flotte sur l’horizon M’envole à tire d’aile Vers l’ultime naissance. JPG
Tourner à jamais Grande Roue infatigable Mystère splendide Image: Daybreak at the Edge of Universe by Larry Carlson
Réponse à « Prothèse (4) » par Hermano Chanter sous la doucheRossignol ressuscitéIl pleut des espoirs
Un champ de poireaux Tellement doux sur sa tête Au bonheur du chauve Pardon, j’avais promis d’autres prothèses, mais j’ai pris du retard… deux ans déjà ! Prothèse (1) Prothèse (2)