Nous nous sommes rencontrés
Nous nous sommes aimés
Mais c’était le destin
Nous eûmes chacun
Sa route à soi
De nos routes parallèles
Voulions faire des routes convergentes
Elles ne furent que jumelles
Même pas divergentes
Chacun sa route à soi…
Nous nous sommes rencontrés
Nous nous sommes aimés
Mais c’était le destin
Nous eûmes chacun
Sa route à soi
De nos routes parallèles
Voulions faire des routes convergentes
Elles ne furent que jumelles
Même pas divergentes
Chacun sa route à soi…
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Et voilà où cela mène, où cela mène de trop croire en la fameuse assertion de Saint-Exupéry :
“Aimer, ce n’est pas se regarder l’un l’autre, c’est regarder ensemble dans la même direction.” !
Peut-être faut-il aussi se regarder l’un l’autre… Un peu.
Merci Loki, de nous faire ainsi réfléchir aux trajectoires qui ne convergent jamais, même si elles ont la même direction. Je suppose que tes talents de mathématicien t’auront tout de suite permis d’évaluer les “limites” de la maxime qui précède.
Bonjour Loki,
Pour un modérateur qui prétend ne rien savoir de la poésie et donc s’abstenir de commenter des poèmes, ce petit poème n’est pas mal du tout.
À partir de maintenant, j’espère que tu te joindras à nous pour commenter les poèmes.
En fait, il s’agit d’un texte honnête, en mots simples, ayant l’air inspiré et que je trouve inspirant.
Il mérite une explication claire sans aucune censure.
Cette femme semble avoir choisi de rester sur sa “route de la soie” non convergente.
Pourquoi ?
Qui osera parler au nom de cette femme ?
Je suis content que ce modeste texte ait suscité tant de réactions. C’est comme cela que doit fonctionner un site littéraire.
Je vois Purana que tu as osé parler au nom de cette femme que tu évoques.
Je continue de prétendre à ne rien savoir de la poésie. Le verbe “savoir” est d’ailleurs mal choisi, la lecture d’une poésie ne “déclenche” rien en moi, de même qu’en musique je suis totalement hermétique au Rap et au Jazz.
Et pourtant telle une taupe déclamant un jour un hymne à la lumière, il m’arrive d’accoucher d’un texte que d’aucuns appellent un poème. De là à juger et critiquer…
Merci Hermano d’introduire Saint Exupéry dans le débat. Il doit en frémir de plaisir dans sa carcasse d’avion au fond de la Méditerranée.
Je vois que la mathématique et la poésie sont des soeurs jumelles (on reste dans le sujet)
Merci Loki, de nous faire ainsi réfléchir aux trajectoires qui ne convergent jamais, même si elles ont la même direction. Je suppose que tes talents de mathématicien t’auront tout de suite permis d’évaluer les “limites” de la maxime qui précède.
Je préciserai :
Les trajectoires ne convergent jamais, surtout si elles ont la même direction. 👀