Je ne suis pas le plus habilité pour m’exprimer sur ta poésie, je rédige surtout, comme tu le verras sur le site, des nouvelles.
D’autres plus spécialisés commenteront sans aucun doute ton texte.
Le titre a une importance primordiale, c’est la première chose que l’on lit et il induit une première idée du texte.
Comme le sablier est pour moi le symbole du temps, je m’attendais bien que ton poème traite du temps.
Je n’avais pas tort…
Est-ce un raccourci de la vie humaine ? Tu es né de la poussière et tu retourneras à la poussière !
Ta poésie fait revenir du fin fond de ma mémoire la visite que j’ai effectuée il y a quelque années dans un monastère situé à Brno en République tchèque.
Les moines n’enterraient pas leurs morts, mais les plaçaient dans une cave où ils se fossilisaient.
Sur l’entrée de la cave était inscrit : Nous étions que vous êtes et vous serez ce que nous sommes…
chargement…
Bienvenue Richard !
Merci pour ce poème bref et léger qui évoque parfaitement le sablier, un des symboles utilisés par les peintres dans les « vanités » censées illustrer notre état de simple mortel, auquel nous retournerons quelle que soit notre condition sociale. Un vers m’intrigue : « Ma dernière lettre » ? Y a t-il une allusion particulière ? Merci !
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Merci Richard pour cette dernière lettre d’amour qui fait vibrer chaque corde de mon cœur.
C’est comme si on était témoin de « lacrima mortis » de cet être cher qui voudrait crier « je t’aime » sans qu’il ne puisse émettre aucun son.
Pour moi, ce court poème est une « dernière volonté » déchirante : « Tout ce que je possède est mon âme emplie d’amour et c’est la tienne maintenant ; ne m’oublie pas ».
Bienvenue !
Purana
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Où chaque grain de sable, jusqu’au dernier, est une pensée qui s’écoule et qui fuit, comme le temps.
Bienvenue Richard !
Cela fait plaisir de voir un peu de sang neuf.
Je ne suis pas le plus habilité pour m’exprimer sur ta poésie, je rédige surtout, comme tu le verras sur le site, des nouvelles.
D’autres plus spécialisés commenteront sans aucun doute ton texte.
Le titre a une importance primordiale, c’est la première chose que l’on lit et il induit une première idée du texte.
Comme le sablier est pour moi le symbole du temps, je m’attendais bien que ton poème traite du temps.
Je n’avais pas tort…
Est-ce un raccourci de la vie humaine ? Tu es né de la poussière et tu retourneras à la poussière !
Ta poésie fait revenir du fin fond de ma mémoire la visite que j’ai effectuée il y a quelque années dans un monastère situé à Brno en République tchèque.
Les moines n’enterraient pas leurs morts, mais les plaçaient dans une cave où ils se fossilisaient.
Sur l’entrée de la cave était inscrit : Nous étions que vous êtes et vous serez ce que nous sommes…
Bienvenue Richard !
Merci pour ce poème bref et léger qui évoque parfaitement le sablier, un des symboles utilisés par les peintres dans les « vanités » censées illustrer notre état de simple mortel, auquel nous retournerons quelle que soit notre condition sociale. Un vers m’intrigue : « Ma dernière lettre » ? Y a t-il une allusion particulière ? Merci !
Merci Richard pour cette dernière lettre d’amour qui fait vibrer chaque corde de mon cœur.
C’est comme si on était témoin de « lacrima mortis » de cet être cher qui voudrait crier « je t’aime » sans qu’il ne puisse émettre aucun son.
Pour moi, ce court poème est une « dernière volonté » déchirante : « Tout ce que je possède est mon âme emplie d’amour et c’est la tienne maintenant ; ne m’oublie pas ».
Bienvenue !
Purana
Où chaque grain de sable, jusqu’au dernier, est une pensée qui s’écoule et qui fuit, comme le temps.