Oui, je le savais : certaines formes d’amour sont exponentielles…
mais en même temps parfois asymptotiques ce sont les limites du genre 🙂 !
Que les âmes restent donc dans leur pré carré : pour vivre heureux… vivons cachés.
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Tout d’abord Alain, bienvenue sur le site !
Je me félicite d’avoir un nouveau correspondant dont je pourrais lire les réalisations et éventuellement les commenter.
Je me félicite aussi de voir que tu as puisé dans les mathématiques pour écrire un “poème” (?) sciences détestées par tant de nos contemporains alors qu’elles renferment tant de beauté, de poésie (eh oui !). Ils n’y voient qu’une discipline scolaire, indispensable, mais abhorrée, semblable à l’huile de foie de morue.
Je me réjouis en lisant « Carré magique » d’avoir maintenant un nouveau frère de plume, car si tu te plonges dans les arcanes de notre site, riche de tant d’écritures, tu pourras constater que ton frère s’est beaucoup inspiré de la mathématique pour écrire nouvelles et poésies. Je dis « la », car elle est pour moi comme une maitresse belle et difficile.
Je décèle aussi dans tes quatre vers une pointe d’humour, une deuxième de mes maitresses. Tu vois, je suis souple, j’accepte de la partager avec toi…
Maintenant le professeur, que je fus, resurgit, avec humour : les identités remarquables, les nombres premiers et la notion de postulat sont dans les programmes du Collège, la fonction exponentielle n’arrive que beaucoup plus tard. En plus la fonction exponentielle est strictement croissante et n’a donc pas de limite. Ce qui risque d’être très épuisant pour nos deux amoureux…
En plus dans ce cas, ces amours ne peuvent être asymptotiques, à moins que nos amoureux soient atteints de la Covid 19 et donc asymptomatiques…
En plus de la mathématique, j’adore le Français !
Merci encore et à bientôt.
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Rubaiyat, les quatrains d’Omar Khayyam sont des poèmes lyriques. Ainsi, ces célèbres quatrains suivent un modèle de rimes aaba. Ils peuvent être suivis ou non de strophes successives, chacun avec ses propres règles spécifiques.
Ces quatrains ne sont pas des histoires avec des personnages ; ils présentent plutôt les sentiments du poète ainsi que ses émotions profondes sur des sujets tels que la vie, la mort, l’amour, l’éternité et le cosmos. Tous ces quatrains possèdent une haute signification divine et spirituelle.
Omar traitait les thèmes universels et intemporels du doute, de la peur et du regret à travers des pensées philosophiques. Il était aimé pour sa modestie remarquable. Cela, malgré son immense savoir scientifique multidisciplinaire dont il ne se vantait jamais. Il détestait les traits narcissiques qui ont infecté tant d’âmes. Omar a découvert une méthode géométrique de résolution d’équations cubiques en coupant une parabole avec un cercle. La beauté et la profondeur de ses poèmes enveloppés de mots simples sont si immaculés que les gens de toutes confessions ainsi que ceux qui n’ont aucune foi peuvent y trouver un réconfort divin.
Tout cela pour te dire que j’ai lu ton court poème comme s’il s’agissait d’une traduction française parfaite d’un rubaiyat persan. Vraiment magnifique ! Tu as le talent nécessaire pour écrire du rubaiyat français.
Oui, je le savais : certaines formes d’amour sont exponentielles…
mais en même temps parfois asymptotiques ce sont les limites du genre 🙂 !
Que les âmes restent donc dans leur pré carré : pour vivre heureux… vivons cachés.
Tout d’abord Alain, bienvenue sur le site !
Je me félicite d’avoir un nouveau correspondant dont je pourrais lire les réalisations et éventuellement les commenter.
Je me félicite aussi de voir que tu as puisé dans les mathématiques pour écrire un “poème” (?) sciences détestées par tant de nos contemporains alors qu’elles renferment tant de beauté, de poésie (eh oui !). Ils n’y voient qu’une discipline scolaire, indispensable, mais abhorrée, semblable à l’huile de foie de morue.
Je me réjouis en lisant « Carré magique » d’avoir maintenant un nouveau frère de plume, car si tu te plonges dans les arcanes de notre site, riche de tant d’écritures, tu pourras constater que ton frère s’est beaucoup inspiré de la mathématique pour écrire nouvelles et poésies. Je dis « la », car elle est pour moi comme une maitresse belle et difficile.
Je décèle aussi dans tes quatre vers une pointe d’humour, une deuxième de mes maitresses. Tu vois, je suis souple, j’accepte de la partager avec toi…
Maintenant le professeur, que je fus, resurgit, avec humour : les identités remarquables, les nombres premiers et la notion de postulat sont dans les programmes du Collège, la fonction exponentielle n’arrive que beaucoup plus tard. En plus la fonction exponentielle est strictement croissante et n’a donc pas de limite. Ce qui risque d’être très épuisant pour nos deux amoureux…
En plus dans ce cas, ces amours ne peuvent être asymptotiques, à moins que nos amoureux soient atteints de la Covid 19 et donc asymptomatiques…
En plus de la mathématique, j’adore le Français !
Merci encore et à bientôt.
Rubaiyat, les quatrains d’Omar Khayyam sont des poèmes lyriques. Ainsi, ces célèbres quatrains suivent un modèle de rimes aaba. Ils peuvent être suivis ou non de strophes successives, chacun avec ses propres règles spécifiques.
Ces quatrains ne sont pas des histoires avec des personnages ; ils présentent plutôt les sentiments du poète ainsi que ses émotions profondes sur des sujets tels que la vie, la mort, l’amour, l’éternité et le cosmos. Tous ces quatrains possèdent une haute signification divine et spirituelle.
Omar traitait les thèmes universels et intemporels du doute, de la peur et du regret à travers des pensées philosophiques. Il était aimé pour sa modestie remarquable. Cela, malgré son immense savoir scientifique multidisciplinaire dont il ne se vantait jamais. Il détestait les traits narcissiques qui ont infecté tant d’âmes.
Omar a découvert une méthode géométrique de résolution d’équations cubiques en coupant une parabole avec un cercle.
La beauté et la profondeur de ses poèmes enveloppés de mots simples sont si immaculés que les gens de toutes confessions ainsi que ceux qui n’ont aucune foi peuvent y trouver un réconfort divin.
Tout cela pour te dire que j’ai lu ton court poème comme s’il s’agissait d’une traduction française parfaite d’un rubaiyat persan. Vraiment magnifique !
Tu as le talent nécessaire pour écrire du rubaiyat français.