Kaléidoscopes quantiques, cœur de mandala, le tournoiement derviche, le web cosmique, le web du cerveau, … …
Tout ce que nous savons et tout ce que nous ne savons pas exprimé dans un seul poème.
Nous pouvons voir rien, tout, ou partie de tout cela dans ce texte.
Pour voir ce “quelque chose”, ou au moins une partie, il nous faut lire et relire ce poème, car soudain, “le kaléidoscope de l’univers dévoile les grenades éclatées” !
Ton poème me rappelle les mystérieuses séances soufies dont j’ai été témoin dans ma prime jeunesse, main dans la main avec mon “baba”. Les derviches tournèrent de plus en plus vite jusqu’à ce qu’ils entrassent dans un état d’extase mystique. Ils sont maintenant devenus “un” avec Dieu ; m’a dit “baba”.
En première lecture, ce texte semble opaque. Cependant, à un moment donné, les pensées sous-jacentes deviennent de plus en plus claires, au moins pour moi.
Par contre…
@ Khalid, je ne comprends toujours rien de ton commentaire, peu importe combien de fois je le lis. Sourire.
Merci Hermano pour cette séance soufie ! Purana
chargement…
Merci Purana pour ce commentaire si personnel. Merci de nous raconter cette petite histoire de derviches.
Je n’aurais jamais osé espérer évoquer un rite soufi…
Comme quoi, la poésie n’appartient qu’au lecteur et je suis vraiment heureux d’avoir pu évoquer de telles choses pour toi, inattendues pour moi.
Dois-je parler des secrets de fabrication ? Lors d’un atelier d’écriture l’animateur nous a proposé, après quelques échauffements, d’écrire un texte sur un tableau qu’on avait choisi. Le tableau n’était pas figuratif, mon texte non plus ; je l’ai écrit en laissant courir la plume et en laissant parler mes propres “impressions artistiques” dans un autre langage que celui de la peinture.
ça nous donne une ( réponse question )
Kaléidoscopes quantiques, cœur de mandala, le tournoiement derviche, le web cosmique, le web du cerveau, … …
Tout ce que nous savons et tout ce que nous ne savons pas exprimé dans un seul poème.
Nous pouvons voir rien, tout, ou partie de tout cela dans ce texte.
Nous regardions le même endroit ; nous ne voyions pas la même chose.
Pour voir ce “quelque chose”, ou au moins une partie, il nous faut lire et relire ce poème, car soudain, “le kaléidoscope de l’univers dévoile les grenades éclatées” !
Ton poème me rappelle les mystérieuses séances soufies dont j’ai été témoin dans ma prime jeunesse, main dans la main avec mon “baba”. Les derviches tournèrent de plus en plus vite jusqu’à ce qu’ils entrassent dans un état d’extase mystique.
Ils sont maintenant devenus “un” avec Dieu ; m’a dit “baba”.
En première lecture, ce texte semble opaque. Cependant, à un moment donné, les pensées sous-jacentes deviennent de plus en plus claires, au moins pour moi.
Par contre…
@ Khalid, je ne comprends toujours rien de ton commentaire, peu importe combien de fois je le lis. Sourire.
Merci Hermano pour cette séance soufie !
Purana
Merci Purana pour ce commentaire si personnel. Merci de nous raconter cette petite histoire de derviches.
Je n’aurais jamais osé espérer évoquer un rite soufi…
Comme quoi, la poésie n’appartient qu’au lecteur et je suis vraiment heureux d’avoir pu évoquer de telles choses pour toi, inattendues pour moi.
Dois-je parler des secrets de fabrication ? Lors d’un atelier d’écriture l’animateur nous a proposé, après quelques échauffements, d’écrire un texte sur un tableau qu’on avait choisi. Le tableau n’était pas figuratif, mon texte non plus ; je l’ai écrit en laissant courir la plume et en laissant parler mes propres “impressions artistiques” dans un autre langage que celui de la peinture.