Un homme, une ombre
Il semblerait que dans la nuit
Un corps tout à sa peine fui,
Une ombre tout en douleur
La main au ventre pressée
Le souffle rance, encore
Tout en souffrance, il suit.
Petit poucet il le fut, lui
Souffre-douleur et d’abandon.
D’une vie en lambeaux écorchée,
Sans illusions, aucune,
Pour ce clochard déleste,
Sans tout, tout en carence.
Sous cette ombre de feuillus
Toujours en dérobade
Songe un cœur qui saigne
La main au ventre pressée.
Merci bouloche pour ce sublime poème qui prend aux tripes.
J’avoue j’ai lu clochard céleste…
Un corps fui
Une ombre
Souffre_douleur et d’abandon
Sans illusions, aucune
Clochard céleste
Tout en carence
Songe
Un coeur saigne
Merci tanagra, pour cette sensibilité éprouvée face la pauvreté morale et physique
Il faut bien lire “Pour ce clochard déleste,”