Vie tourmentée, âme brisée,
Larmes et regrets biffés, décrire
Sur les murs de pâles émaux,
Morceaux de douleur en écho.
De la grande ville, de ses maux,
Toute une vie souffrir, d’écrire
Ces quelques mots : vie martyre
Titubant – margelle et trottoir –
Hors les murs à l’octroi, d’effroi
Et de haine, payer son lourd tribut,
La raison maltraitée et de cœur déchiré,
Subir et souffrir une vie de martyre.
Vous tous héritiers de bonne culture
A bon endroit, ayez la bonne fortune
Sans que lune pâlisse, qu’un peu
Au moins, au notre y fleurisse.
Bouloche !
Le moins qu’on puisse dire c’est que tes textes n’engendrent pas la gaité. Ils ne parlent que de tristesses et de misères.
Je sais qu’elles existent et ont toujours existé. Elles me font même douter de l’existence d’un Dieu. S’il est si puissant pourquoi les tolère-t-il ?
Les hommes d’Église s’en tirent en disant : les voies du seigneur sont impénétrables !
J’essaie de pallier ces misères à ma modeste place, mais je ne veux en aucun cas culpabiliser.
Ma philosophie est de mettre en exergue le côté positif des choses. D’aucuns diront que c’est la politique de l’autruche, mais elle m’aide à surmonter les difficultés de la vie.
Merci Locki,
Pour votre sincérité, vous semblez troublé, je ne porte aucun jugement sur vos valeurs et croyances, et je respect votre morale face à la misère. Quand à moi je supporte très mal cette tristesse et misère humaine, alors je verse largement dans l’obole, caresse leur chien et en échange ils me gratifient d’un sourire…mais la tristesse dure toujours.
Mais la question est la suivante : l’homme existe lui, alors pourquoi les tolère-t-il ?
l’homme existe lui, alors pourquoi les tolère-t-il ?
Cela revient a ce que j’écrivais !
Elles me font même douter de l’existence d’un Dieu.
N’est-ce pas Dieu qui a créé l’homme ?