Très joli poème court de 5-7-5 syllabes.Chaque vers est un monde magnifique en soi.L’ensemble est un univers splendide vu à travers les yeux d’un enfant étonné par l’éternel tournoiement des roues célestes.
En grandissant, cette « nuit d’enfant » ne perd jamais son attirance mystérieuse. De plus, cela nous met au défi d’essayer de trouver une réponse à la grande question sans jamais y pouvoir répondre :
« Les astres à ma présence ici-bas n’ont rien gagné,
Leur gloire à ma déchéance ne sera pas augmentée ;
Et témoins mes deux oreilles, nul n’a jamais pu me dire
Pourquoi l’on m’a fait venir et l’on me fait m’en aller. »
[Quatrain d’Omar Khayyam dans la traduction de M. Gilbert Lazard]
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Pour moi, l’image et le poème forment un bijou.
Ils me rappellent les vacances à la campagne, les nuits sous la tente, l’enfance.
Ils évoquent l’odeur des forêts, des pins, des épicéas, de l’herbe, du feu…
Je pense qu’il reste presque toujours un peu d’enfance en nous.
Merci, Hermano, j’aime beaucoup.
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C’est extraordinaire comme trois petites phrases peuvent faire retrouver des souvenirs différents au lecteur (la photo y contribue largement ).
Moi ce n’est pas mon enfance qu’elles me rappellent, mais bien les merveilleuses nuits passées au pied du Puy de Dôme à la « Fontaine du Berger » attendre allongé sur le sol avec mon MAT4956 , sous une nuit étoilée, un ennemi qui jamais ne vint… J’en ai oublié la dureté pour ne penser qu’à la beauté de cette solitude.
Merci Hermano de faire resurgir des souvenirs aujourd’hui bien lointains.
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Merci à vous trois pour ces louanges.
Comme quoi, seulement quelques mots suffisent à s’évader… et comme Loki, je suis toujours étonné que cela déclenche tant d’évocations différentes.
Encore merci !
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La poésie à l’état pur.
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Qui sait ?
… nul n’a jamais pu me dire pourquoi l’on m’a fait venir et pourquoi l’on me fait m’en aller.
Très joli poème court de 5-7-5 syllabes.Chaque vers est un monde magnifique en soi.L’ensemble est un univers splendide vu à travers les yeux d’un enfant étonné par l’éternel tournoiement des roues célestes.
En grandissant, cette « nuit d’enfant » ne perd jamais son attirance mystérieuse. De plus, cela nous met au défi d’essayer de trouver une réponse à la grande question sans jamais y pouvoir répondre :
« Les astres à ma présence ici-bas n’ont rien gagné,
Leur gloire à ma déchéance ne sera pas augmentée ;
Et témoins mes deux oreilles, nul n’a jamais pu me dire
Pourquoi l’on m’a fait venir et l’on me fait m’en aller. »
[Quatrain d’Omar Khayyam dans la traduction de M. Gilbert Lazard]
Pour moi, l’image et le poème forment un bijou.
Ils me rappellent les vacances à la campagne, les nuits sous la tente, l’enfance.
Ils évoquent l’odeur des forêts, des pins, des épicéas, de l’herbe, du feu…
Je pense qu’il reste presque toujours un peu d’enfance en nous.
Merci, Hermano, j’aime beaucoup.
C’est extraordinaire comme trois petites phrases peuvent faire retrouver des souvenirs différents au lecteur (la photo y contribue largement ).
Moi ce n’est pas mon enfance qu’elles me rappellent, mais bien les merveilleuses nuits passées au pied du Puy de Dôme à la « Fontaine du Berger » attendre allongé sur le sol avec mon MAT4956 , sous une nuit étoilée, un ennemi qui jamais ne vint… J’en ai oublié la dureté pour ne penser qu’à la beauté de cette solitude.
Merci Hermano de faire resurgir des souvenirs aujourd’hui bien lointains.
Merci à vous trois pour ces louanges.
Comme quoi, seulement quelques mots suffisent à s’évader… et comme Loki, je suis toujours étonné que cela déclenche tant d’évocations différentes.
Encore merci !
La poésie à l’état pur.
Qui sait ?
… nul n’a jamais pu me dire pourquoi l’on m’a fait venir et pourquoi l’on me fait m’en aller.