Après les rêves d’amour de “bleue comme une orange” que les réveils sont douloureux ! Un contrepied très drôle, j’ai beaucoup aimé !
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À vrai dire, je ne comprends pas grand-chose à ce poème qui puisse correspondre au titre.
De quelle prothèse parles-tu ? On dit souvent des raideurs dans le dos, et souvent le bas du dos quand il fait froid. Une prothèse du dos ? Prothèse de la hanche ?
Quant à ce losange bleu, je ne vois pas d’image très vivace si ce n’est le froid à travers un carreau de fenêtre.
Je viens de relire les trois autres prothèses, il est vrai que l’enchaînement (surtout des prothèses 1, 2 et 4) mis bout à bout nous sert un vocabulaire ambigu.
Je ne trouve pas de réponse claire.
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Merci à vous deux pour avoir lu et commenté.
Purana, ce texte, c’est seulement pour rire et pour tourner un peu en dérision les pauvres vieux hommes et les prothèses “chimiques” dont ils doivent parfois user quand les raideurs viennent plutôt dans leur dos. Pense à Pfizer et à son losange bleu. Quant à l’hiver, il s’agit bien sûr de l’hiver de la vie.
Enfin, ce texte est aussi et surtout un clin d’œil au très célèbre vers du poète surréaliste Paul Eluard,
le vers que j’ai toujours préféré dans toute la poésie :
“La terre est bleue… comme une orange…” Paul Éluard Magnifique ! J’adore !!!
C’est aussi un clin d’œil au haïku classique, puisque il comporte une notion de saison : l’hiver ! Rires !
Après les rêves d’amour de “bleue comme une orange” que les réveils sont douloureux ! Un contrepied très drôle, j’ai beaucoup aimé !
À vrai dire, je ne comprends pas grand-chose à ce poème qui puisse correspondre au titre.
De quelle prothèse parles-tu ?
On dit souvent des raideurs dans le dos, et souvent le bas du dos quand il fait froid.
Une prothèse du dos ? Prothèse de la hanche ?
Quant à ce losange bleu, je ne vois pas d’image très vivace si ce n’est le froid à travers un carreau de fenêtre.
Je viens de relire les trois autres prothèses, il est vrai que l’enchaînement (surtout des prothèses 1, 2 et 4) mis bout à bout nous sert un vocabulaire ambigu.
Je ne trouve pas de réponse claire.
Merci à vous deux pour avoir lu et commenté.
Purana, ce texte, c’est seulement pour rire et pour tourner un peu en dérision les pauvres vieux hommes et les prothèses “chimiques” dont ils doivent parfois user quand les raideurs viennent plutôt dans leur dos. Pense à Pfizer et à son losange bleu. Quant à l’hiver, il s’agit bien sûr de l’hiver de la vie.
Enfin, ce texte est aussi et surtout un clin d’œil au très célèbre vers du poète surréaliste Paul Eluard,
le vers que j’ai toujours préféré dans toute la poésie :
“La terre est bleue… comme une orange…” Paul Éluard Magnifique ! J’adore !!!
C’est aussi un clin d’œil au haïku classique, puisque il comporte une notion de saison : l’hiver ! Rires !