Le chien, je le trouve pas mal quoique bien plus classique que ce haïku qui ne l’est pas (classique) même s’il a du chien, et le maître, je ne sais pas qui c’est mais il me semble un peu narcissique…
Nouvelle prière :
pas publier en rafale
et encor’ merci Nous avons déjà expliqué pourquoi
chargement…
Bonjour,
Poème court, le haïku exprime l’évanescence des choses. Il est généralement exprimé dans un langage simple et spontané. Classiquement il comporte 3 lignes. 1re ligne : 5 pieds/2ème ligne : 7 pieds/3ème ligne 5pieds.
Quant au choix des mots cela relève de la sensibilité de chacun et c’est bien sûr perfectible.
Enfin, oui le maître du chien aimé est narcissique… “Charité bien ordonnée commence par soi-même…!”
A bientôt, JP
chargement…
Certes, je peux adhérer à cette définition du haïku, mais c’est comme si on me disait que pour être baisable, il faut être gaie, intelligente et sensuelle et, classiquement faire un 90-60-90.
Pour donc accéder au label, certains éléments sont mesurables (5/7/5 vs 90-60-90) et constituent ce que j’appellerai pour la suite des indicateurs mesurables auxquels on a parfois tort de donner trop d’importance car effectivement, l’impact produit par le respect de ces indicateurs peut varier selon les langues et les cultures. Il est pourtant nécessaire de s’y attacher car, c’est vrai, la poésie reste un travail d’orfèvre et la contrainte est souvent nécessaire à la créativité en général, qu’elle soit poétique ou pas.
Acceptons donc ces indicateurs mesurables pour ces raisons et pour ne pas déclencher les foudres des puristes, mais ne nous en satisfaisons pas !
Les autres choses que tu évoques dans ton commentaire sont “l’évanescence des choses… un langage libre et spontané”. De même que la gaieté, l’intelligence et la sensualité, tu m’accorderas que ces choses-là sont absolument subjectives (malgré les tests de QI !) et cela resterait dommage qu’elles restent auto-proclamées, nonobstant, c’est vrai, le narcissisme de certains auteurs.
Ce ne sont donc absolument pas des indicateurs (mesurables) mais ce que j’appellerai pour la suite des critères à atteindre. On comprend aisément que “la sensualité” ou “l’évanescence des choses” sont tout à fait d’un autre ordre que le 5/7/5 ou le 90-60-90. Cela me semble parfaitement clair.
Alors, peut-être faut-il nous astreindre à spécifier un peu ces critères assez généraux. Tu me concèderas qu’on peut spéculer à l’envi sur l’évanescence des choses et, quant aux langages libres et spontanés… j’en connais comme toi qui ne versent pas dans la poésie et encore moins dans le haïku. Je pense même que la simplicité et la spontanéité du haïku sont au contraire les fruits d’un long travail de polissage. Comme je le crois, et comme je l’ai souvent entendu : “C’est compliqué de faire simple !”
Cela ne répond pas à la question :
Quels sont, quels pourraient être les indicateurs (mesurables) permettant en quelque sorte de “labelliser” un haïku ?
J’en suis arrivé là après ce trop long discours, mais je ne pourrais que conseiller l’excellent memento que Purana t’a déjà adressé cela fait quelque temps. Ce sont des règles qui me paraissent bien intéressantes et que je relis souvent, et même si mes haïkus restent encore boiteux, j’ai l’impression narcissique – et pratique car je suis mon seul évaluateur ! – de m’améliorer un peu !
Contrairement à ce que semble penser Purana, j’adhère à ces règles et même si je ne sais pas toujours les pratiquer je regrette l’absence d’un commentaire qui aurait pu me permettre de m’améliorer… https://www.oasisdepoesie.org/textes-dauteurs/poemes/hermano/reve-etrange/. Trop mauvais probablement ?
Le chien, je le trouve pas mal quoique bien plus classique que ce haïku qui ne l’est pas (classique) même s’il a du chien, et le maître, je ne sais pas qui c’est mais il me semble un peu narcissique…
Nouvelle prière :
pas publier en rafale
et encor’ merci Nous avons déjà expliqué pourquoi
Bonjour,
Poème court, le haïku exprime l’évanescence des choses. Il est généralement exprimé dans un langage simple et spontané. Classiquement il comporte 3 lignes. 1re ligne : 5 pieds/2ème ligne : 7 pieds/3ème ligne 5pieds.
Quant au choix des mots cela relève de la sensibilité de chacun et c’est bien sûr perfectible.
Enfin, oui le maître du chien aimé est narcissique… “Charité bien ordonnée commence par soi-même…!”
A bientôt, JP
Certes, je peux adhérer à cette définition du haïku, mais c’est comme si on me disait que pour être baisable, il faut être gaie, intelligente et sensuelle et, classiquement faire un 90-60-90.
Pour donc accéder au label, certains éléments sont mesurables (5/7/5 vs 90-60-90) et constituent ce que j’appellerai pour la suite des indicateurs mesurables auxquels on a parfois tort de donner trop d’importance car effectivement, l’impact produit par le respect de ces indicateurs peut varier selon les langues et les cultures. Il est pourtant nécessaire de s’y attacher car, c’est vrai, la poésie reste un travail d’orfèvre et la contrainte est souvent nécessaire à la créativité en général, qu’elle soit poétique ou pas.
Acceptons donc ces indicateurs mesurables pour ces raisons et pour ne pas déclencher les foudres des puristes, mais ne nous en satisfaisons pas !
Les autres choses que tu évoques dans ton commentaire sont “l’évanescence des choses… un langage libre et spontané”. De même que la gaieté, l’intelligence et la sensualité, tu m’accorderas que ces choses-là sont absolument subjectives (malgré les tests de QI !) et cela resterait dommage qu’elles restent auto-proclamées, nonobstant, c’est vrai, le narcissisme de certains auteurs.
Ce ne sont donc absolument pas des indicateurs (mesurables) mais ce que j’appellerai pour la suite des critères à atteindre. On comprend aisément que “la sensualité” ou “l’évanescence des choses” sont tout à fait d’un autre ordre que le 5/7/5 ou le 90-60-90. Cela me semble parfaitement clair.
Alors, peut-être faut-il nous astreindre à spécifier un peu ces critères assez généraux. Tu me concèderas qu’on peut spéculer à l’envi sur l’évanescence des choses et, quant aux langages libres et spontanés… j’en connais comme toi qui ne versent pas dans la poésie et encore moins dans le haïku. Je pense même que la simplicité et la spontanéité du haïku sont au contraire les fruits d’un long travail de polissage. Comme je le crois, et comme je l’ai souvent entendu : “C’est compliqué de faire simple !”
Cela ne répond pas à la question :
Quels sont, quels pourraient être les indicateurs (mesurables) permettant en quelque sorte de “labelliser” un haïku ?
J’en suis arrivé là après ce trop long discours, mais je ne pourrais que conseiller l’excellent memento que Purana t’a déjà adressé cela fait quelque temps. Ce sont des règles qui me paraissent bien intéressantes et que je relis souvent, et même si mes haïkus restent encore boiteux, j’ai l’impression narcissique – et pratique car je suis mon seul évaluateur ! – de m’améliorer un peu !
Contrairement à ce que semble penser Purana, j’adhère à ces règles et même si je ne sais pas toujours les pratiquer je regrette l’absence d’un commentaire qui aurait pu me permettre de m’améliorer… https://www.oasisdepoesie.org/textes-dauteurs/poemes/hermano/reve-etrange/. Trop mauvais probablement ?
Mais je tiens tout de même à les rappeler ici :
https://www.tempslibres.org/tl/fr/theo/mode02.html
Je trouve que c’est un excellent repaire bourré d’indicateurs utiles pour mesurer l’atteinte des critères susnommés.
Quant à la gaieté, l’intelligence et la sensualité, c’est encore une autre histoire.