Il est des signes qui ne trompent pas. À condition de savoir les reconnaître et les interpréter. Pierre-Luc avait ce don, celui de déchiffrer les messages que le destin prend un malin plaisir à dissimuler sous l’apparence des choses. Pour qui sait les lire, les petits faits du quotidien, aussi anodins soient-ils, laissent affleurer, sous forme d’allusions, quelques signes prémonitoires. Pierre-Luc était à l’affût du moindre indice : coïncidence étrange, rencontre fortuite, présence insolite, absence troublante… Certains symboles étaient d’une évidente clarté, d’autres se présentaient sous l’aspect d’énigmes et seul le temps avait le pouvoir de les résoudre.
Lucile, sa femme, était réticente, pour ne pas dire réfractaire au langage des signes. Quand Pierre-Luc lui faisait part de ses intuitions, elle riait de bon cœur avant de formuler une explication rationnelle qui laissait peu de place à l’émerveillement, encore moins au mystère. C’est la raison pour laquelle il préférait garder ses pressentiments pour lui.
Ce soir-là, pourtant, il ne put s’empêcher de relater un fait qui l’avait troublé le matin même. Lucile était dans la cuisine, occupée à préparer le repas, lorsqu’il lança négligemment :
… … …
(Commencé par Loki)
Deux autres histoires à continuer
Suite à plusieurs mains – Opus 5
Suite à plusieurs mains – Opus 6
Merci de lire la suite dans les commentaires ci-dessous et d’écrire vous-même une suite à tout ceci.
Votre contribution se terminera par une phrase qui invite un autre participant à continuer le texte, par exemple par une phrase non achevée (c’est ainsi que… par ailleurs… de son côté… mais… lorsque… etc.).
Vous posterez cette suite dans la boîte de commentaires ci-dessous.
N.B. Après avoir lu, ne tardez pas à écrire et à poster votre suite pour éviter qu’un autre participant ait pris la place !
Ce ne serait pas trop grave cependant, nous vous faisons confiance
pour opérer quelques petits aménagements pour rendre le texte cohérent.
– N’as tu pas remarqué cette feuille de papier ?
– Quelle feuille de papier ? Interrogea Lucile, sans lever le regard de la pomme de terre qu’elle était en train d’éplucher ni interrompre un geste mille fois répété, son économe à la main.
– Une feuille de papier blanc, que le vent sans doute a déposée ce matin devant la porte d’entrée.
– Non je n’ai pas remarqué, y a t-il là quelque chose de remarquable ?
– Ben, c’est le deuxième jour que la chose se répète. Un feuille A4 de papier blanc, immaculée. J’ai ramassé et jeté celle d’hier et voilà qu’aujourd’hui ça recommence ! C’est quand même étrange non ?
– Non pas tant que ça, objecta Lucile, se saisissant d’une autre pomme de terre. Ce n’est pas la première fois que le vent dépose des papiers devant notre porte. Pommes de terre au four ou frites ?
– Oh ! Pour toi tout est toujours normal ! On retrouverait une troisième feuille demain matin que tu …
…..On retrouverait une troisième feuille demain matin que tu ne serais pas plus troublée! Pour toi rien ne semble jamais étrange.
– Qu’y a-t-il de si étrange à trouver une feuille blanche devant notre porte?
– Cela pourrait être un signe!
– Un signe, ha ha, un signe de qui, de quoi, bon dieu, toi et tes signes!
– Une feuille de papier blanc pourrait être un présage d’heureux événement, une incitation à…
– – Une incitation à… je ne sais pas moi… à écrire…, à faire des cocottes en papier…, à…
– – C’est ça ! Eh bien, en attendant d’être Murakami ou Ronsard t’as qu’à faire des cocottes en papier ! Voilà ! Et toujours en attendant, attrape-moi le plat là-haut, j’y arrive pas ! Non ! Pas celui-là, à côté !
– – Tu me parles de Murakami, tiens… plutôt que des cocottes en papier on pourrait essayer les origamis, non ? J’ai un bouquin là-dessus, il y en a de fantastiques, et c’est quand même plus classe que les cocottes en papier, non ? … … et puis chaque pliage est tellement étrange : un oiseau, une libellule, un rhinocéros ! qui semblent tous porter un sens caché…
Lucile ne répondit pas, elle n’écoutait plus Pierre-Luc depuis qu’elle était passée à côté, dans la remise, pour aller chercher la friteuse.
On sonna à la porte : une musique de clavecin. Pierre-Luc, encore dans ses pensées orientales d’animaux fabuleux en origami, alla ouvrir en se demandant qui pouvait bien ainsi sonner chez eux un dimanche à midi…
…
Pierre-Luc ouvrit la porte et se trouva face à un homme impeccablement vêtu, figé dans une inquiétante immobilité et dont les yeux à peine colorés dirigeaient vers lui un regard de glace.
A ces mots l’homme blêmit et ne rompit le silence qu’après un moment qui parut une éternité à Pierre-Luc
Et ainsi fut fait, après des remerciements longs et alambiqués, l’homme tourna les talons pour se diriger d’un pas lent vers la maison voisine. Après l’avoir observé quelques secondes Pierre-Luc se précipita dans la cuisine ou Lucile venait juste d’allumer le gaz sous la friteuse.
Je ne comprends pas ces fantaisies sur la police de caractères que je n’ai pas réussi à éviter.
– Un extraterrestre? ha ha,et toi, t’as fumé la moquette, mon vieux?
– Je t’assure que cet homme n’est pas d’ici ; ce regard glacial, cette attitude hyper rigide, cette politesse surfaite…
– Et de ton côté, une imagination délirante et une naïveté de bambin! Je te sers des frites, ça te remettra peut-être les pieds sur terre?
-Mm, mm, pas mauvaises ! Mais ce nouveau voisin m’inquiète; s’il arrive de Mars, il ne connait ni notre terre, ni les coutumes des terriens ; par où est-il arrivé? Est-il seul? Et cette musique de clavecin, tu l’as entendue?
– C’est reparti! les feuilles de papier blanc, une personne rigide, une musique de clavecin, et tu en fais tout un roman! tu n’irais pas faire une petite sieste, chéri?
Alors que Pierre Luc quitte la salle à manger,
Vous l’aurez compris cette histoire d’extraterrestres n’était qu’une histoire inventée par Pierre-Luc pour se moquer sa femme. La personne qui avait sonné était un démarcheur qui voulait vendre un aspirateur.
Il avait parlé d’origamis à Lucile pour lui montrer qu’il valait mieux que les cocottes en papier. D’ailleurs il n’avait aucune patience pour réaliser ce type de pliages, pas plus que pour les puzzles. Autant d’activités qui l’exaspéraient !
Après des heures perdues pour ce type de manipulation, on se croyait obliger de les placer sur une étagère ou sur un mur pour les faire admirer par les amis ou la famille.
Le seul plaisir qu’il avait ressenti dans ce domaine c’est quand il pliait, enfant, du papier afin d’aboutir à un avion qu’il envoyait en l’air après avoir soufflé sur la pointe.
La patience il la réservait à la détection de signes ou d’indices significatifs.
Malgré l’incrédulité de Lucile, ces feuilles blanches étaient indubitablement des signes…
Pierre-Luc Sleeds, car c’était son nom, avait trouvé son nouveau voisin étrange mais néanmoins très aimable.
Une personne de type asiatique, absolument correcte, d’une politesse également tout asiatique, mais qui restait vraiment énigmatique pour lui. Cela le tracassait. Il n’avait su que satisfaire à sa demande de restitution de ces deux feuilles blanches, tellement elle était posée avec courtoisie et fermeté. Mais pourquoi n’avait-il pas osé quelques questions à propos de ces drôles de feuilles qui semblaient avoir tant d’importance pour cet homme.
Bon, quoiqu’il en soit, il pourrait revenir sur le sujet ; après tout son nouveau voisin lui paraissait quelqu’un d’assez sympathique.
– Sympathique… sympathique… se prit à penser tout haut Pierre-Luc, tout en mangeant ses frites… des feuilles blanches… Mais pourquoi a-t-il voulu récupérer ça… ?
– Bon, ne te fais pas tant de romans, ne t’inquiète pas, fit Lucile, finalement prise de compassion pour son mari qui se gâchait la vie avec autant d’hypothèses, qui se perdait dans tant de conjectures. Tu sais, tu peux passer à autre chose maintenant. Non ?
– Sympathique… des feuilles blanches… “Bon sang, mais c’est bien sûr !” fit Pierre-Luc se frappant le front et imitant ironiquement l’inspecteur Bourrel. Si ces feuilles blanches avaient autant d’importance, c’est peut-être qu’elles étaient écrites à l’encre sympathique ! Pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt !?
– Alors là ! Bravo ! Je m’incline très bas ! Toi, tu as vraiment de l’imagination ! Tu devrais prendre des notes et écrire des romans, fit Lucile en secouant la tête, mi-ironique, mi-compatissante.
On sonna de nouveau à la porte. Sleeds adorait ce carillon au son de clavecin qu’il avait choisi et installé lui-même. Il s’essuya les lèvres, se leva et alla ouvrir. Personne.
Seule, une feuille blanche était scotchée sur la porte d’entrée…
…
Tout d’abord, Sleeds examina la feuille avec précaution, la décolla, examina l’autre face, enleva le papier collant, observa l’endroit de la porte où avait été collé le papier puis rentra; il descendit à la cave où il avait un bureau, un ordi, et une pièce où il avait du matériel de bricolage et toutes sortes d’objets de mesurage, d’optique, de pesée.
A l’aide d’une loupe, il étudia scrupuleusement toutes les parties de la feuille. La structure lui parut régulière ; rien de spécial non plus dans l’aspect du papier collant si ne n’est une trace de doigt très fine….
Je pense que mon ami Hermano n’a pas bien lu la partie que j’avais rédigée… La suite qu’il propose n’est pas cohérente avec la mienne !
Aussi pour rétablir la cohésion, je propose de modifier mon commentaire en :
Vous l’aurez compris cette histoire d’extraterrestres n’était qu’une histoire inventée par Pierre-Luc pour se moquer sa femme. Il n’empêche que le démarcheur sans être un extraterrestre était vraiment bizarre.
De plus il avait parlé d’origamis à Lucile pour lui montrer qu’il valait mieux que les cocottes en papier. D’ailleurs il n’avait aucune patience pour réaliser ce type de pliages, pas plus que pour les puzzles. Autant d’activités qui l’exaspéraient !
Après des heures perdues pour ce type de manipulation, on se croyait obliger de les placer sur une étagère ou sur un mur pour les faire admirer par les amis ou la famille.
Le seul plaisir qu’il avait ressenti dans ce domaine c’est quand il pliait, enfant, du papier afin d’aboutir à un avion qu’il envoyait en l’air après avoir soufflé sur la pointe.
La patience il la réservait à la détection de signes ou d’indices significatifs.
Malgré l’incrédulité de Lucile, ces feuilles blanches étaient indubitablement des signes…
Merci d’avoir dépoussiéré avec cette retouche, Loki ! Rires ! J’avoue que j’avais lu mais que je ne savais pas continuer avec le marchand d’aspirateurs à la sauvette des années 60 alors que Chamans nous avait déjà plongé dans cette situation étonnante du voisin qui tenait à ses feuilles blanches. Je vais donc enchainer sur la dernière proposition de Nima : l’examen de cette nouvelle feuille.
Oui, il y avait cette trace de doigt… mais les extraterrestres de David Vincent n’avaient-ils pas de doigts ? Oui, les extra-terrestres… cela pouvait être plausible, mais il n’y croyait plus vraiment depuis longtemps.
Il repensa à la possibilité d’une écriture à l’encre sympathique. Une écriture au lait ou au citron comme ils s’amusaient à en faire avec son frère dans son enfance. Pour que ces feuilles blanches aient tant d’importance, son voisin pouvait être un espion, quelqu’un cherchant à communiquer secrètement… avec un complice…, une maîtresse peut-être ? Pourtant, cette feuille-là, celle qu’il tenait dans ses mains, lui était bien adressée puisqu’elle était collée sur sa porte… à moins… à moins d’une erreur, bien sûr.
Pierre-Luc Sleeds laissa de côté tout son matériel sophistiqué, trouva une bougie dans un coin de la cave, sorti son briquet pour l’allumer et entreprit de passer légèrement la feuille blanche à la flamme de la bougie. Des lettres apparurent presque aussitôt. Seulement un texte très court écrit en majuscules, une sorte d’étiquetage effrayant :
L E P I R E D E S C R U E L S
LE PIRE DES CRUELS… Habitué des énigmes, Pierre-Luc Sleeds déchiffra immédiatement l’anagramme qui n’était autre que celui de son nom !
En fait Pierre-Luc Sleeds avait une double personnalité, chacune ignorant l’autre. Lorsque le voisin au regard transperçant était apparu sur son palier, son cerveau avait fait un blocage pour refuser de regarder la réalité en face.
Et voici que cet anagramme faisait entrer en collision des souvenirs de ses deux lui-même. Une collision digne d’un choc de météorite !
Sleeds relut plusieurs fois les mots, effaré. Les idées se bousculaient dans sa tête ; ” sympathique,…cruels,…espion,…le pire,..moi ?…un autre moi ? …” Un vrai combat se produisit dans les pensées de cet homme. Son visage devint rouge écarlate ; sa tension atteignit des sommets ; son rythme cardiaque s’accéléra. Déstabilisé, il s’appuya sur une vieille commode et parvint à s’asseoir sur une chaise. Il appela Lucile. Cette dernière, bien décidée à ne pas entrer dans “le monde des signes” de son mari, chantait de vieilles chansons d’amour, en faisant la vaisselle. Elle ignorait ce qui se passait à la cave.
Un gouffre venait de s’ouvrir sous les pieds de Pierre-Luc. Qui était Pierre, qui était Luc ? En plus de ses interrogations existentielles qui le plongeaient dans un trouble profond, il se sentit tout a coup envahi par deux sentiments contradictoires. D’abord celui d’une grande excitation, lui l’amateur d’énigmes et de mystères était comblé. Là il tenait quelque chose d’extraordinaire et de vraiment hors du commun. Mais en même temps il était pris d’une angoisse prégnante, ce voisin, extraterrestre ou pas, l’inquiétait vivement, pire, il le terrorisait. Mille questions se bousculaient, l’homme avait pu lire son nom sur la boîte à lettres et jouer avec mais que pouvait bien signifier la référence à cet être abominable ? Etait-ce lui ? Lui le voisin ou lui Pierre-Luc ? Mais pourquoi dissimuler le message à l’encre sympathique ? Et cette façon quand même un peu intrusive de s’avancer jusqu’à la porte d’entrée pour y placarder la feuille ? La seule chose tangible était ces empreintes de doigt qu’il avait soigneusement récupérées, mais qu’allait-il en faire ? C’est sûr, cette histoire allait l’occuper à temps plein pendant quelques jours et il avait bon espoir de progresser. Lucile n’avait pas répondu à son appel et il ne l’informerait pas de tous les détails de ses investigations, inutile d’aller au devant de moqueries déplacées et peu constructives. Il reprenait son souffle peu à peu et gambergeait sur cette inscription : « Le pire des cruels », qui donnait « Pierre-Luc Sleeds » et sans même qu’il en ait vraiment conscience son esprit, habitué aux signes dissimulés avait poursuivi son exploration du domaine des lettres lorsqu’il pâlit, sur un écran tendu à l’intérieur de son crâne venait d’apparaître une nouvelle anagramme, insolite et pas du tout de nature à calmer ses angoisses : « Les pleurs de cire »
Les pleurs de cire… C’était le titre d’un polar suédois qui avait fasciné Pierre-Luc. Il visualisait encore la couverture : une tête de poupée dont les yeux vides versaient des larmes noires.
L’intrigue était basée sur l’histoire vraie d’un duo de serial killers qui opérait depuis plus de vingt ans dans le monde entier.
Le titre faisait référence à la signature des tueurs, la poupée au visage terrifiant qui illustrait la jaquette du livre. Les profilés pensaient que l’un des assassins était une femme ayant subi des vilenies pendant son enfance. Le nombre exact de tueurs n’était pas clair et les modes opératoires étaient variés. Les crimes intervenaient souvent en bord de mer.
Pierre-Luc avala sa salive avec difficulté. Il était devenu blanc comme un linge. Cette histoire le troublait au plus haut point et il comprenait mal pourquoi. Il fallait qu’il en parle avec une personne de confiance.
Justement il devait prochainement voir son copain Alain…
Justement, il devait prochainement voir son copain Alain qui vivait depuis quelques temps à Darwin avec sa compagne Mélanie. Ils avaient fondé une grande école de voile. Ils s’étaient connus au temps de leurs études ; ils avaient guindaillé ensemble puis s’étaient perdus de vue, lorsque Pierre-Luc était parti pour l’Australie. Émigré lui aussi sur la grande île, Alain avait trouvé les coordonnées de Sleeds sur Internet et l’avait recontacté espérant se refaire quelques copains. Ils avaient correspondu par mails, s’étaient raconté quelques nouvelles ; issus du même pays, ils avaient envie de se revoir d’autant plus qu’ils avaient de joyeux souvenirs en commun ; par ailleurs, le caractère de Sleeds, toujours sur le qui-vive, toujours en recherche de sens du moindre signe, fascinait Alain, plus terre à terre, d’un naturel intéressé et égoïste caché par l’humour et la jovialité.
Pierre-Luc se disait que ce copain pourrait peut-être l’éclairer sur l’affaire des papiers blancs et des messages cachés, le rassurer, le conseiller. Impatient, énervé, angoissé un maximum, il écrivit un mail à son copain, lui expliquant ses tracas, et le priant d’avancer sa visite.
Mais après plusieurs messages sans réponse Pierre-Luc s’interrogeait. Pourquoi Alain, avec qui il avait entretenu une longue relation de belle camaraderie, ne répondait-il pas ? Etait-ce juste un problème d’adressage électronique ou quelque chose de plus grave ? Il finit par se décider à l’appeler au téléphone sans plus de succès malgré des essais répétés. Bizarre, Pierre-Luc était inquiet devant cette nouvelle énigme. Car évidemment ses mails et ses appels auprès de Mélanie avaient été également vains. Bien sûr il avait besoin d’Alain pour recueillir ses conseils sur le problème de cet étrange voisin, de ses feuilles blanches et de ses angoissantes anagrammes, mais ce silence mystérieux était devenu sa préoccupation majeure. Aussi prévint-il Lucile qu’il comptait se rendre à Darwin. Sans se perdre dans les détails il lui expliqua que ce voyage auprès d’un copain qu’il souhaitait revoir serait de courte durée, de Katherine à Darwin il n’ y avait que quelques heures de route.
Parvenu dans la métropole nord-australienne il se dirigea vers l’école nautique, qu’il connaissait et qu’il eut la mauvaise surprise de trouver fermée. C’est alors qu’il remarqua deux hommes en pleine conversation qui ne dissimulaient pas leur abattement, en se rapprochant d’eux il s’aperçut qu’ils parlaient en français.
Cette histoire, et celle de l’Opus 6, trouvent leur fin dans la rubrique “Nouvelles” sous le titre “Gueules-de-loup“:
https://www.oasisdepoesie.org/textes-dauteurs/nouvelles/daisy/gueules-de-loup/
Merci à Line de son effort méritoire pour avoir fusionné ces 2 nouvelles à plusieurs mains assez échevelées et trouvé une conclusion qui laisse encore le lecteur en haleine et qui personnellement me plaît beaucoup !
Et merci à vous tous pour votre participation.
P.S. tout cela ne s’est pas fait toutefois sans quelques aménagements pour rendre le texte final plus cohérent.
Ne soyez donc pas étonnés/étonnées de trouver de subtiles variantes de vos textes dans la version finale… Merci de l’accepter.