Oui, j’étais le joyeux colibri
Butinant les balisiers
Dans la lumière du matin.
Ma couronne de lierre
S’est muée en couronne
D’épines.
Les Andes brumeuses
Ont masqué mon calvaire,
Les fusils, et les ruines.
Ma louve,
Ma louve parfumée,
Tu as enfanté trop de loups
Trop de monstres
Qui m’égorgent.
Ça y est ! J’ai corrigé la (les) faute(s) d’orthographe ! Vous pouvez venir lire !