Il n’aurait pas pensé il n’y avait pas cru mais l’échancrure qu’elle arborait par devers elle nuancée de féminine sensualité inversée de volumes pleins colorés librement issus des surprenants arts premiers miroirs et symétriquement contraires des montres molles daliniennes dont le ying et le yang calme cliché s’abandonnent à la fixité lumineuse des néons rougis de Claude Lévêque aux éclats de fluides corporels du repos du guerrier antagoniste délicatement inattendu dans l’épaisseur de matière photographique heurtée complémentaire sous la lumière surprise à l’ancrage immobile des couleurs rigides d’étayages debout à la densité ensommeillée éclairamment originale et molle à la décontraction poïétique à la Man Ray en veille au tonus solaire au surréalisme lourd soudain une autre image lui vint…

 

Elle se tenait là statique dans l’humidité teintée d’un rivage en eau calme en nuages clairs parmi les ancêtres perdus d’ombre portée de sensibilité douce aux profondeurs liquides de subtile féminité de fleurs de Sakura de dorayakis dorés depuis l’ère d’Edo quand les temples de Kyoto les torii flottants s’immergent dans leur archipel nippon les rivages sableux et les hordes de faons libres à la zen attitude mais pour combien de temps encore ?

                                                                                                                                                       Denyse

 

Réponse de Christian

Nul ne le sait, sauf le mage en sa montagne sacrée, celui qui devine tout dans le ciel et les nuages,
celui qui, pour te répondre t’attend, attend que tu viennes,
dépouillée des fleurs de Sakura et des dorayakis dorés,
l’âme nue.

 

 

Atelier d’écriture du 24 avril à Villenave d’Ornon

 

 

Le scénario de cet atelier d’écriture :

https://www.oasisdepoesie.org/forums/topic/decoupages-sans-point/