Autres textes

  D’ ailleurs,   Je vous imagine tous dans les bras de Morphée. Et comme de juste, me voici réveillée. Ici le soleil darde déjà ses rayons. Une tourterelle rassemble...

Dans le laboratoire silencieux éclairé par une lumière bleue, elle est posée, à côté d’autres, dans une boite en verre. Trois heures de matin tous les chercheurs dorment depuis longtemps...

Cher Greg, Ton message m’a bouleversée. Enfant, tu te heurtais à toutes les arêtes, à tous les aiguillons. Longtemps tu as rêvé d’un monde harmonieux, tu avais espéré une vie...

Je remercie pour ses bons vœux, toute l'équipe qui contre vents et marées continue de préserver cette Oasis de mots partagés. Même si un être microscopique nous joue actuellement et...

Le passé, le présent, le futur sont des idées qui concernent chaque être humain. Elles font partie d’un ensemble plus vaste : le temps. Il y a deux façons d’appréhender celui-ci...

  Je ne volerai pas ton âme, je veux seulement la flaque, la flaque de lumière, juste une copie, un duplicata, cette flaque de lumière, et toi tu ne veux...

Réponse à “La route à soi” de Loki C’est vrai que je suis en colère alors que je sais que tu n’es pas malin et que tu restes maladroit parce...

  Ce chemin inconnu, allée attirante et pourtant obscure et mystérieuse, cette grande mise à l’épreuve c’était notre route de la soie sur laquelle nous errions, nourris du vin des cavernes et du pain cuit au four par...

– Coucou Matelote ! C’est moi, Purana. Où es-tu ?   – En Australie.    – Ici, il fait beau. Et là-bas ? Le soleil brille-t-il aussi ?   –...

  À tous ceux qui rêvent d’amour     Aussitôt que je t’ai vu, J’ai senti que c’était toi. C’était toi qu’il me fallait.   Tu sais, nous, les hommes...

      À toutes celles qui rêvent d’amour     Aussitôt que je t’ai vu, J’ai senti que c’était toi. C’était toi qu’il me fallait.   Tu sais, nous...

L’océan sensuel était comme un immense ventre de la terre. Il montait et descendait dans un sommeil profond. Avec mes pensées noires, loin d’apaisement, on dirait que j’étais un fakir...

  Amour,  Si tard dans la nuit, assise seule en paix, sachant que j’ai fait tout ce que je devais et pouvais faire aujourd’hui, rien ne m’empêche plus de m’offrir...

                                                                                                  Ne-m’oubliez-pas                                                                                                  Confinés, mes amis qui vous plaignez de ce pénible isolement n’oubliez pas qu’en d’autres temps certain confinement était plus lourd à supporter Dimanche 26...

Pourquoi je suis comme ça. En ce temps-là, j’avais un vélo. Et puis un jour mon père, qui travaillait dans un garage, m’a acheté une voiture, une vieille Dauphine noire...